J’ai fait un point avec la SAFER sur ses activités. Pour une fois, je n’évoquerai pas son rôle dans le suivi du foncier agricole avec son fameux droit de préemption et la possibilité de contester les prix de vente.
Ces éléments sont bien connus de nos collectivités. Par contre la SAFER développe des outils, certes payants, qui ne sont pas inintéressants, concernant pour les uns une logique d’observatoire des territoires et pour les autres une méthodologie pour les biens vacants sans maîtres.
Je vous communique le powerpoint qui m’a été présenté vous détaillant ces deux outils.
J’ai noté quelques chiffres lors de l’entretien avec un marché des transactions agricoles ou plutôt rurales en baisse en 2023 ( diminution d’un tiers des transactions) , baisse qui s’est poursuivie au premier trimestre 2024.Les prix par contre ne diminuent pas.
Le nombre de notifications à la Safer s’élève à 3200 par an.
Un rappel douloureux : la moitié de nos agriculteurs ont 55 ans ou plus.