Pour de multiples motifs entre les engagements de notre pays en terme de décarbonatation, les difficultés d’EDF, l’explosion du prix du gaz et de l’électricité, nos concitoyens sont devenus très largement favorables au développement de l’énergie nucléaire.
Le gouvernement s’était engagé à présenter un plan de relance, ce qu’il a fait, comprenant notamment une priorité à l’entretien des infrastructures existantes pour en proroger la durée de vie et la construction de 6 nouveaux réacteurs.
Derrière cette politique, il y a bien entendu des enjeux procéduraux.
Le texte a été examiné en procédure d’urgence tant par l’Assemblée nationale que par le Sénat, et, la commission mixte paritaire qui s’est tenue le 4 mai a abouti à un accord.
Nous sommes, pour une fois, sur une disposition législative qui a pu être votée sans dramaturgie.
Il est maintenant intéressant de regarder le fond et je vous communique la note récapitulant les objectifs de cette accélération du nucléaire pour notre pays.