Il faut bien admettre que le « quoi qu’il en coûte » est une réalité.
À la date de diffusion de votre lettre mensuelle sera versée à tous les commerçants de l’habillement, de la chaussure et produits correspondants une aide assez importante pour compenser non pas les pertes d’exploitation mais aider à la reconstitution des stocks pour la saison d’été.
Un montant moyen d’aide de 5600 € par commerce n’est pas négligeable.
L’automaticité du système est également assez étonnante au regard des complexités administratives.
Je constate que quand l’État veut faire simple, il sait faire simple.